À l’issue du diagnostic performance énergétique ou DPE, chaque produit se voit octroyer une mesure d’émission de gaz à effet de serre et une classe énergétique selon sa performance thermique. Pour ceux qui ne le savent pas encore la classe énergie permet de noter un bien.
Elle va de A à G. La notation A définit un bien qui dispose d’une excellente performance énergétique. En clair, il propose une consommation d’énergie faible pour être chauffé et une parfaite isolation.
En revanche, un DPE F ou un DPE G montre que le produit présente une mauvaise isolation et qu’il est indispensable d’engager des frais supplémentaires pour la rénovation du bien afin d’isoler les murs, les fenêtres ou la toiture.
Comprendre l’étiquette énergie
Par conséquent, la classe énergétique vous permet de connaître et d’anticiper le coût de vos futures consommations d’énergie. Pour faciliter la détermination de ces indicateurs, une étiquette énergie est en général mentionnée sur chaque bien.
Elle résume le diagnostic énergétique dédié au futur loueur ou propriétaire d’un bien en affichant l’étiquette GES et la classe énergétique. L’étiquette énergie facilite également la lecture du diagnostic performance énergétique d’un bien immobilier.
Ainsi, vous pourrez y voir la classe énergie présentée en kWh EP/m²/an pour la climatisation, l’eau chaude et le chauffage. Outre cette information, il y a aussi l’étiquette GES indiquant l’estimation annuelle des émissions de gaz en kg éq/CO2/m².
Un contrôle de plus en plus renforcé
Le DPE est déterminé avec deux fois plus de points de contrôle depuis le début du mois
d’avril 2013. Et désormais, il y a 60 points de contrôles. Outre ce mode de calcul, on peut aussi le définir à partir des relevés de consommation énergétique du produit.
Après la réalisation du diagnostic, tous les rapports de performance énergétique doivent être enregistrés auprès de l’ADEME. Chaque rapport bénéficiera de leur propre numéro pour figer les données.